COMPAGNIES EN LACETS & JEFF RIDJALI | France & Mayotte
Création KAARO
RENCONTRE ENTRE LA CULTURE MAHORAISE
ET LA DANSE CONTEMPORAINE
50 minutes à partir de 7 ans.
Chorégraphes: Maud Marquet & Jeff Ridjali
Danseurs:
Maud Marquet, Jeff Ridjali et Damien
Guillemin
Technicien : Laura Robinet
La question de l’échange est au cœur de la pièce de la compagnie intitulée KAARO. Invitée par les Ballets de Mayotte à venir présenter sa création dans l’île, Maud Marquet y rencontre les lointains. Sur un territoire marqué par des traditions soufies, elle y fait la connaissance du danseur et chorégraphe Jeff Ridjali, qui réinterroge dans un travail contemporain les pratiques des danses locales et de la transe. De cette rencontre naît le projet KAARO, projet passerelle entre Mayotte et l’hexagone. Dans ce travail à trois voix et trois corps la chorégraphe traduit dans une danse toute en tension, le décentrement, entre contemporanéité et tradition, entre Europe et Océan Indien, entre Nord et Sud.
Crédits photos : Alain Julien, Jacques Delforge, Richard Pelletier
CIE HNA-YA | MAROC/RABAT--FRANCE
Dans le vent
Chorégraphie et danse:Said El Haddaji et Manon de Matauco
Il existe ici un niveau extrême d’emprise des consciences ; elle rentre bien plus profond que la pupille des yeux et s’attache à la chair des personnes. Ce qui traverse leurs corps ne crée rien. Le mouvement part alors de cet état zéro, d’une page blanche abîmée et tente de toucher au point de rendez-vous d’un langage corporel. A l’encontre des images figées qui nous sont répétées, cette rencontre puise dans les élans pour être un dialogue qui s’étend à chaque fois.
CIE ARABESQUE | MAROC/MEKHNES
« NAWAT »
Chorégraphie et danse:
Bouchra Bouchama Houssine Oumoulid
« NAWAT » est un projet personnel sur lequel nous travaillons , Notre histoire et notre identité nous ont amené à approfondir un travail sur les bases de la Danse et de la Musique Traditionnelle.
CIE COL’JAM | TUNISIE- MAROC / CASABLANCA
« KAYEN »
Chorégraphie de Wajdi Gagui
Interpretation: Ester Lozano Torné,, Soufiane Naym,
Chakib Yemlahi, Faouzi Mrani, Wajdi Gagui
“Kayen”, est la recherche de soi à travers l’autre, où l’existence individuelle dans le monde devient une entité singulière.
De ces corps dansants, émanent différentes situations. L’individualité gestuelle au sein d’un mouvement commun se trace, mais devient le langage d’une entité, d’une force, d’un groupe.
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PRODUCTION MULTINATIONALE
Résidence pendant les RCC
Création: Burqa et Basma
Concept et production: Radu Dinulescu
Co-Production: Teatrul Municipal Baia Mare et Col’jam
Pays: Roumanie - Maroc -Tunisie - Belgique
Partenariat: La Cité de la culture de Tunis
Cofinancement: L’organisation Internationale de La Francophonie (OIF)
Co-production: Théâtre Municipal de Baia Mare et Col’jam
Partenaires: Association Atelier 92, La Fédération des Oeuvres Laïques (FOL), Cité de la Culture de Tunis
Festivals partenaires: Festival Atelier, Les Rencontres Chorégraphiques de Casablanca
Théâtre Municipal de Baia Mare ( Roumanie) :
Danseurs et interprète: Denisa Blag– Carmen Bulancea, Camelia Strat Blidar, Raul Hotcas
Régie Générale: Iulian Bulancea
Compagnie Col’jam (Maroc):
Ahlam El Morsli et Wajdi Gagui : Chorégraphes -danseurs
Danseuses: Ester Lozano Torne - Yasmina Chouaib
Saber Gagui (Tunisie) : Conception lumière
Armand Richelet-Kleinberg (Belgique): Art vidéo et nouveaux médias et scénographe
Le projet propose la réalisation de trois périodes de résidence : deux à Baia Mare, en Roumanie et une à Casablanca (Maroc) avant le festival RCC, ayant comme but la réalisation en coproduction d’un spectacle pluridisciplinaire, qui réunira des artistes des disciplines différentes (la danse, le théâtre, la musique, et les arts numériques), en provenant de 4 pays de l’espace francophone : Roumanie, Maroc, Tunisie, et Belgique, et dont le but est la réalisation d’un spectacle qui tournera dans plusieurs festivals en Roumanie (Baia Mare, Targoviste, Constanta), Maroc (Rabat et Casablanca), et en Tunisie (Tunis).
CIE DIAGN@RT | SENEGAL –
« CONTRAINTE »
Chorégraphie et danse: BAMBA DIAGNE
C’est en Afrique, et plus précisément à Dakar qu’est née l’idée de cette réflexion : « nous n’arrêtons pas de voir la montée de l’extrémisme religieux surtout chez les plus jeunes ».
Dans les années 70/80, les rues du Sénégal, comme dans celles de plusieurs autres villes du continent, sont remplies d’espoir, d’envie et d’enthousiasme par les nouveaux changements qui se dessinent. Nous ne pouvons pas faire ce retour en arrière sans évoquer, que suite à l’indépendance, nous étions des peuples ouverts d’esprit, libérés des regards fatalistes.