Les spectacles
Jeudi 12 octobre à 20:30 / Cinema Rialto
--- " Amor ": Cie Diagn'art (Sénégal) ---
. Choregraghie et Interprete: Alioune Diagne
Amour Amour est un solo créer par Alioune DIAGNE en 2009 lors du hommage a Maurice Bejart. Le solo etait regroupe avec trois autre solo puis mise en scenepar Germaine Acognyet son Fils Patrick Acogny pour en faire une piece de groupe. En 2016 j'ai transmis le solo a un danseur Mauritanien qui l'a representer au Festival international Duo Solo danse et a l'institut Francais de Nouakchott.
"Amour Amour" est un appelle a l'Amour qui est a la base de tout. L 'Amour de sois meme, des autres et de tout ce qui nous entoures. Dans ce monde ou beaucoups de personnes, courrent vers des réligions, des cultures, des civilisations et des appartenances, je cours vers l'Amour. Je le cherches, je le donnes, ce que je trouves, sans attendre de retour...
--- " Mnémosyne ": Cie Nawel Oulad (France) ---
. Danse: Laurianne Faure, Marion Amoretti, Nawel Oulad
"Mnémosyne" déesse de la mémoire, nous transporte dans un univers quantique où se rencontre l’infiniment petit et l’infiniment grand. Ce trio est né d'une réflexion autours de la mémoire corporelle et des dernières recherches en épigénétique(étude des changements héréditaire dans l’ADN) . Il convoque ainsi la mémoire cellulaire, la mémoire individuelle et la mémoire collective dans une danse des fractals où différentes échelles de lectures se superposent.
--- " Fagaru ": Cie Diome-Fa (Sénegal) ---
. Chorégraphe: Fatou SAMB
. Danseur-assistant chorégraphe :Younouss
BADJI
. Danseur: Badara DIOP , Serigne Abdou Khafor
MBOUP
. Régie général: SECK Aboubacry
Trois personnages d'une ville non identifiée souffrent des conséquences de leurs propres
actions sur leur environnement direct. Enfermés dans leurs habitudes de citoyens, ils
salissent, s'étouffent, évoluent dans le vacarme et la tourmente, incapables de prendre du recul sur leurs actions et emprisonnés dans des ténèbres qu'ils ont eux-mêmes créées. Ils viennent de milieux différents et pourtant, face aux maux de la planète, leur implication est la même. Ils finiront enfin par réaliser que la solution ne peut venir de leur prise de conscience et feront tout pour changer les choses avant qu'il ne soit trop tard ...
Vendredi 13 octobre à 20:30 / Institut français de Casablanca
Compagnie Ma' (France) -"Ceci n'est pas une femme blanche"
Chorégraphie et interprétation: Marion Alzieu
L’identité nous est donné malgré nous, dès la naissance et, peu à peu, nous revient. Ainsi on devient « je » pour façonner cette identité, la détourner, la détruire ou simplement l’accepter. Mais avons nous réellement le pouvoir de choisir? La pensée, l’identité nous modifie? Nous torture? Pouvons nous être ‘sans’ un instant? Si l’on revenait à la nature même, à l’essence, nous sommes juste chair et muscles… et puis de qui dépendons nous ?
Par ce solo, je traiterai de la manière d’exorciser cette identité, danser quelque chose qui se passe entre les idées. Je ne voudrais pas que vous me donniez un nom et que vous me classifiez. Essayer de se raconter à travers une absence de quelque chose. Comment être ce qui nous attire pour disparaître ? Suis-je totalement ce que je danse, ou je ne le suis pas ou je devrais l’être, puisque c’est mon corps qui est là ?
Il ne s’agit plus de connaître le monde ou l’être mais de transformer nos idées, dans une urgence de se jeter. Aller sur scène pour être soi-même. Sans avoir peur de l’inconnu, du flou et de l’innommable."
Cie Marwen Errouine (Tunisie) - " Rass Najeh "
Chorégraphie et mise en scène : MARWEN ERROUINE
Interprète : Najib KHELFALLAH, Mariem Bouajaja, Marwen Errouine, Emna Mouelhi, AMEL LAAOUINI
Chorégraphie Marwen Errouine, présente la surdité des membres d’une société qui ne savent pas entrer en contact. Malgré la présence de 5 individualités, la rencontre reste impossible. Les ondes sont impuissantes à transmettre leurs messages. Parabole de nos aveuglements, elle montre, à travers le silence qui compose son atmosphère combien il nous est inconcevable de nous livrer, d’échanger, d’entrer en communication quand la liberté d’expression est mutilée. La Pièce RASS NAHEJ, du chorégraphe MARWEN ERROUINE,est fondée sur le silence. Créée en 2015, elle tient compte de la situation que vit la Tunisie, mais pourrait se dérouler partout ailleurs dans le monde.
Samedi 13 octobre à 16:30
Les ateliers libres - Hôtel des Arts
--- " Mnémosyne ": Cie Nawel Oulad (France)
. Chorégraphe: Nawel Oulad
. Danseurs : Laurianne Faure, Marion Amoretti, Nawel Oulad
"Mnémosyne" déesse de la mémoire, nous transporte dans un univers quantique où se rencontre l’infiniment petit et l’infiniment grand. Ce trio est né d'une réflexion autours de la mémoire corporelle et des dernières recherches en épigénétique(étude des changements héréditaire dans l’ADN) . Il convoque ainsi la mémoire cellulaire, la mémoire individuelle et la mémoire collective dans une danse des fractals où différentes échelles de lectures se superposent.
Institut français de Casablanca à 20:30
Cie Ella Fiskum Danz (Norvège): " Casablanca 0811 "
Chorégraphie : Ella Fiskum
Danseurs : Ella Fiskum et Sudesh Adhana
Acteur : Ivar Örn Sverrison
Musicienne et chanteuse : Houwaida Goulli
Casablanca 0811 fait partie d’une trilogie :
(Triptyque 0811, Casablanca 0811 et Mercure 0811).
Le spectacle parle d'amour, de liberté et de vertu. Situé dans un orient imaginaire et fictif, c’est à un conte des Mille et une nuits moderne que nous invite la chorégraphe norvégienne. Accompagné d’un court film de 16 minutes tourné entre Casablanca et le désert du Sahara, la pièce met en scène un voyage théâtral et onirique.
Dimanche 14 octobre
la Sqala à 17H
--- Cie Daruma (France) - " Ici et Là "
. Chorégraphie: Milène Duhameau
. Danseurs: Milène Duhameau, Stéphanie Jardin, Camille Henner
. Musique: Romain Serre Création lumière: Catherine Reverseau
Ici et Là est une pièce chorégraphique déambulatoire, qui s’adapte à toutes sortes d’espaces, autant en intérieur qu’en extérieur : espace rural ou urbain, le hall d’un théâtre, une ancienne usine, un espace naturel… J’ai souhaité aboutir à un travail physiquement engagé qui sollicite également un engagement du spectateur. Comment se positionne-t-il par rapport à ce qui se passe devant lui ? Est-il témoin ou voyeur ? Les spectateurs sont parfois mis devant une forme frontale, parfois transportés au coeur de l’action. On les amène à regarder de loin, de près, devant, derrière, autour... Les « spect-acteurs » posent alors un regard différent sur ce qui se joue devant eux mais aussi sur ce qui se joue entre eux.
L'UZINE à 19H
Sortie de résidence : Wajdi Gagui et Marwen Erruine (Tunisie)
--- " Fagaru ": Cie Diome-Fa (Sénegal) ---
. Chorégraphe: Fatou SAMB
. Danseur-assistant chorégraphe :Younouss BADJI
. Danseur: Badara DIOP , Serigne Abdou Khafor MBOUP
. Régie général: SECK Aboubacry
Trois personnages d'une ville non identifiée souffrent des conséquences de leurs propres
actions sur leur environnement direct. Enfermés dans leurs habitudes de citoyens, ils
salissent, s'étouffent, évoluent dans le vacarme et la tourmente, incapables de prendre du recul sur leurs actions et emprisonnés dans des ténèbres qu'ils ont eux-mêmes créées. Ils viennent de milieux différents et pourtant, face aux maux de la planète, leur implication est la même. Ils finiront enfin par réaliser que la solution ne peut venir de leur prise de conscience et feront tout pour changer les choses avant qu'il ne soit trop tard ...
Lundi 16 Octobre
Studio des Arts Vivants à 21h
--- SKETT --- Chorégraphie et interprétation : Wajdi Gagui
SKETT est une réflexion citoyenne sur l’art, une réflexion sur l’Autre, sur l’artiste et sur le corps dans son environnement. SKETT est un reflet des différentes tendances socio-politiques, avant et après le 14 janvier 2011 (date du soulèvement populaire tunisien).
La roue de la vie et de l’Histoire, son cycle à travers l’image répétitive, la mémoire à travers les jeux de l’enfance, le fil du temps à travers les images ludiques, les rouages du conditionnement et de l’esclavage : un cercle vicieux dans le parcours du quotidien.
L’approche citoyenne de l’art, commence par une analyse du vécu social. La Danse peut la restituer sur scène. Mais elle peut aller au-delà, pressentir l’avenir : d’où son pouvoir révolutionnaire. Comme tout Art.
---BODY PLAY-- COMPAGNIE « CHAIM GEBBER– OPEN SCÈNE » - ALLEMAGNE
Chorégraphie: Chaim gebber
Interpretation: Roberta Pupotto, brittany davis , luciano botelho, Chaim Gebber
Danseurs Marocains: (Noms sous reserve)
Body Play est une performance qui répertorie notre recherche de mouvement sur "The Conscious Body System" (un système de mouvement développé par Chaim Gebber). Dans les solos, les duos et le travail du groupe, les danseurs utilisent la physiologie comme peau, les os et les muscles comme outils singuliers pour créer des rituels corporels .
Dans ce projet trois danseurs marocains seront sélectionnés pour faire partie du spectacle. L'unification, la culture et les comportements sociaux constituent le fondement de notre travail et de notre processus.